Après les massacres de Paris, se poser, s’emmitoufler, se taire, réfléchir et… dessiner.
Derrière l’abbaye de Eaunes, un après midi gris d’hiver.
Caillou, le 5 décembre 2015
Après les massacres de Paris, se poser, s’emmitoufler, se taire, réfléchir et… dessiner.
Derrière l’abbaye de Eaunes, un après midi gris d’hiver.
Caillou, le 5 décembre 2015
Merci Caillou, pour la branche de l’arbre protectrice et le dessin apaisant.
Bises,
Je t’envoie un beau lever de soleil sur la grande bleue , un matin de printemps .
En fermant les yeux pendant 6 respirations profondes , à chacun de le visualiser comme il veut .
Ça met de la lumière dans le cerveau et de la chaleur au coeur .
L’arbre est “tordu”, mais il tient toujours debout. Bravo Caillou. Bises Gaby
Ça pourrait être l’arbre de la liberté, il ploie mais ne romp pas.
tronc fendu, écorce rugueuse, et la branche enveloppante de tendresse. Ne vois-tu pas une larme qui perle à son extrémité?
Salut et fraternité,
Alain Callès